3 JUIN – 26 JUIN – EXPOSITION GUENAËLLE DE CARBONNIÈRES – PALIMPSESTES DU TERRITOIRE, Rêver la ville avec Tony Garnier

Guénaëlle de Carbonnières, travail en cours, 2022 – Photo personnelle

La sortie de résidence,
Une exposition personnelle, introduite par une
exploration collective du motif urbain lyonnais

GUENAËLLE DE CARBONNIÈRES
Palimpsestes du territoire – Rêver la ville avec Tony Garnier

Du 03 juin au 26 juin 2022

du mercredi au dimanche de 14h à 18h

Entrée libre

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Née en 1986, Guénaëlle de Carbonnières est artiste et enseignante agrégée en arts plastiques. Elle vit et travaille à Lyon.

Son projet de résidence rejoint une exploration déjà entamée précédemment lors de l’exposition virtuelle 10/10 – Dix plasticiens au Fort de Vaise en 2020.

Guénaëlle de Carbonnières travaillera le dessin et la photographie, en dialogue avec les dessins imaginaires de Tony Garnier issus des collections de la Fondation Renaud (présentés en 2019/2020 au Fort de Vaise, lors de l’exposition Tony Garnier, l’oeuvre libre).

« Poussant les limites de mon sujet, je souhaite, durant cette résidence, réfléchir à la place d’édifices apparus plus récemment dans le champ de notre rapport au monde et à la cité. Lyon, ville à la croisée de différentes temporalités – de l’Antiquité romaine à la période contemporaine –, a été le terrain de jeu de l’architecte Tony Garnier, qui en a durablement modélisé certains quartiers. Etant lui-même féru d’architectures antiques et concevant dans certains projets des cités idéales utopiques, ses dessins constituent un ensemble à explorer pour « rêver » la ville de Lyon, au(x) passé(s), au présent et au futur.

Guénaëlle de Carbonnières

L’exposition de Guénaëlle de Carbonnières sera introduite par un regard collectif
sur les strates du paysage lyonnais.
Les trois artistes invités, Claire Georgina Daudin, Amandine Mohamed-Delaporte
et Guillaume Perez, vivent dans la métropole lyonnaise. Chacun, avec ses médiums, s’empare du motif urbain pour en proposer une exploration personnelle, qui interroge les signes et les profondeurs de temps qui composent le paysage.
L’ensemble des oeuvres montre un paysage lyonnais fait d’époques contemporaines, dont chaque espace est porteur d’un imaginaire spécifique. L’exposition donne ainsi un regard sur les strates plus récentes de la ville, en écho au travail de Guénaëlle de Carbonnières, qui en explore les dimensions antérieures, notamment les couches antiques, médiévales et modernes.